Titre

Les 7 Sceaux

alias Les Sept Sceaux
Die sieben Siegel
Auteur Stefan Dorra  
Éditeurs Amigo Spiele  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Gigamic  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Kikigagne  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2003
Joueurs 3 à 5
Public enfants, ados, adultes
Durée 30 min
Caractéristiques adapté aux daltoniens, cartes
Mécanismes levées, levées annoncées
Thème fantastique
Emplacement tiroirs du rayon 0 à 9
Site officiel
Règle du jeu
Résumé
Ressources


Le jeu sur
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Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Club de La Rochelle


Le jeu sur
Tric Trac
                 

2011 : Les 7 Sceaux chez Gigamic

J'étais un peu réticent avant d'essayer Les 7 Sceaux. Il me semblait que j'allais rencontrer un énième jeu où il faut faire les levées qu'on a annoncées, et le fait que Stefan Dorra soit un de mes auteurs préférés ne retirait rien à mes soupçons.

Eh bien, rassurez-vous, Les 7 Sceaux vaut vraiment le détour. Bien sûr, l'innovation n'est pas sa qualité première, mais l'auteur a créé l'un des tout meilleurs jeux de contrat à ma connaissance. L'idée est d'annoncer à l'avance non seulement les levées qu'on va faire, mais aussi la couleur de ces levées. Les levées que vous ne réaliserez pas vous feront perdre 2 points, mais les levées que vous réaliserez en trop vous en feront perdre 3. Le but est de marquer 0 !

Heureusement, vous n'êtes pas toujours obligé d'annoncer des levées. Si personne n'en a saisi l'occasion avant vous, vous pouvez jouer le trouble-fête. Il vous en coûtera 4 points pour le faire. Mais chaque fois qu'un joueur fera une levée en trop, vous rendrez un point.

J'ai longtemps pratiqué le bridge et je conserve un faible pour les jeux de levées et d'annonces, dérivés du Whist et de L’Ascenseur. Les 7 Sceaux vient à mon avis se placer à côté des meilleurs d'entre eux. Quand on n'est pas trop fatigué, Was sticht ? reste le meilleur de tous, mais aussi le plus complexe. Les 7 Sceaux permet des parties plus légères, et néanmoins presque aussi intéressantes.

2003 : Die sieben Siegel chez Amigo

    

La première version avait l'inconvénient de porter un nom barbare. Mais les illustrations abstraites étaient à mon goût plus lisibles. Une première édition francophone avait été réalisée par Kikigagne en 2005 sous le nom Les sept Sceaux.

Bibliographie

  • Plato n° 46 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 46 »
                 

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François Haffner
3 avril 2011