Titre

Bamboleo

Auteur Jacques Zeimet  
Éditeurs Gigamic  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Zoch  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 1996
Joueurs 2 à 7
Public bambins, enfants, ados, adultes
Durée 15 min
Mécanisme équilibre
Emplacement étagères du rayon B
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Ludo le gars


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Vin d’jeu
                 

« Bamboleo est un gros jeu qui se comporte comme un aimant à joueurs. Dressé sur une table, il attirera irrésistiblement le novice qui voudra tenter sa chance. C’est un jeu d’adresse si simple que tout le monde peut s’y frotter et passer un bon moment. Et, si le plateau s’écroule, on est quitte pour une nouvelle partie ! ».

Cet avis, tiré de l'ancienne présentation du jeu par Ludovic Maublanc chez Jocade résume parfaitement Bamboleo.

 

Un plateau très instable reçoit de nombreuses pièces simples ou superposées. Le joueur doit retirer une pièce, ou une pile de pièces s'il est ambitieux, sans faire tomber le plateau.

Le défaut de Bamboleo, c'est qu'on passe parfois plus de temps à le mettre en place qu'à y jouer. Utiliser la plus petite boule fournie est réservé aux grands experts.

Probablement le plus beau jeu de la gamme, mais pas le plus réussi.

Bamboleo, jeu coopératif ?

La parole à une lectrice

Catherine a une vision différente et très intéressante de Bamboleo :

« (…) Je voudrais vous faire juste une remarque à propos de votre avis sur le Bamboleo : pour y avoir joué avec des ados, et avoir passé de bien beaux moments autour, je trouve qu'il est dommage que vous ne parliez pas du côté coopératif de ce jeu, car c'est cela qui lui donne sa valeur.

En effet, tout est dans l'esprit, qui est d'essayer de construire ensemble quelque chose de difficile - pratiquement impossible ! - à faire tenir en équilibre, ce qui implique une volonté commune de réussite, donc de persévérance. Il n'y a ni gagnant ni perdant à ce jeu : ou bien on gagne tous, ou bien l'inverse, et, dans ce cas, on recommence avec espoir.

La beauté du jeu est dans la démarche, la volonté de réussir à créer un lieu, un monde où chacun aura su trouver la juste place pour se poser et prêter attention à l'autre pour qu'il trouve la sienne, jusqu'à ce que l'ensemble ainsi créé tienne en équilibre, soit viable, l'indifférence ayant cédé la place à la conjonction des différences.

J'ajoute que, lorsque nous y avons joué avec des personnes différentes pendant toute une journée, un seul groupe a réussi à aller jusqu'au bout, c'est-à-dire à poser toutes les pièces, puis à les enlever une à une jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus ! Une belle explosion de joie avait suivi ! Et nous étions repartis avec l'espoir que nous avait donné le constat de l'équilibre rendu possible par une parfaite conjugaison des réalités et des comportements de chacun… ».

Catherine Coux - 7 juin 2005

Bibliographie

                 

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François Haffner
avant 2009