Titre

Bonne Question !

Auteur Ludovic Maublanc  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’auteur
Éditeurs Cocktail Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Repos Production  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2007
Joueurs 3 à 8
Public enfants, ados, adultes
Durée 30 min
Caractéristiques anciennement dans la collection, cartes, cartes-mots
Mécanisme imagination
Emplacement hors collection
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac
                 

Sortir dans une soirée un jeu basé sur l'imagination est toujours une entreprise risquée. Si la tante Madeleine sèche lamentablement ou si votre ami Robert se révèle incapable du moindre trait d'esprit, vous risquez le grand froid.

Il est donc indispensable de bien jauger son assemblée avant de sortir la jolie boîte jaune à la fin du repas. Préparez-vous : la première question qui fuse normalement est du style : « Tu n'as pas plutôt des sucrettes ? ».

Bonne question ! est, comme Barbarossa, un jeu bouddhiste. Pour gagner, il ne faut ni poser une question facile, ni poser une question difficile : il vous faut trouver le juste milieu.

Votre but est de faire prononcer un mot à vos partenaires de jeu en posant une seule question. Si un joueur trouve dès la première réponse, lui et vous marquez un point. Si la deuxième réponse est bonne, vous gagnez deux points. Si c'est la troisième, vous marquez trois points. Puis, on régresse : la quatrième réponse vous rapporte deux points, la cinquième un point et la sixième, zéro !

Il s'agit donc de trouver une réponse qui permette à quelqu'un de trouver, mais pas immédiatement. La réponse n'est d'ailleurs pas nécessairement « exacte ». Par exemple, si vous demandez « Quel pays dirige Poutine ? », la première réponse qui devrait fuser sera la Russie. Si vous indiquez que ce n'est pas la réponse attendue, ce serait bien le malheur si le deuxième ou le troisième à répondre ne disait pas l'U.R.S.S. Vous prendrez ainsi deux ou trois jetons d'une main, tandis que de l'autre vous vous protégerez le corps des jets de légumes avariés qui ne devraient pas manquer de jaillir. Rassurez-vous, il se trouvera toujours au moins un joueur pour approuver votre vilénie : celui qui a également encaissé les jetons !

Un jeu intelligent, mais à manier avec précaution.

Bibliographie

                 

Vous n’êtes pas connecté(e)

Déjà membre : Connectez-vous ou demandez un mot de passe
Pas encore membre : Créez un compte
 

François Haffner
16 décembre 2007