Titre

Défifoo bleu

Auteur Olivier Finet  
Éditeurs Défifoo  
Défifoo - collection Jeu en sac  
Gigamic  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2006
Joueurs 2 à 6
Public enfants, ados, adultes
Durée 15 min
Caractéristique cartes
Mécanisme attaque défense
Emplacement tiroirs du rayon D
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Tric Trac
                 
Une présentation par Bruce Demaugé-Bost  
Quelques présentations sont rédigées par des amis de l’Escale à jeux, tous fins connaisseurs du domaine des jeux de société. Les notes sont attribuées par le webmestre.

Dans Défifoo bleu, il s'agit pour chaque joueur de réaliser le premier un tour du monde, en collectant devant lui cinq cartes symbolisant des continents : il y a donc deux continents de moins que dans Défifoo orange. Le jeu fonctionne à la manière d'un 1000 Bornes, à ceci près que l'on ne peut poser de carte Continent que si l'on a ouvert, au préalable, une ligne de la couleur donnée à l'aide d'un « Soleil/Feu vert » (un petit peu comme dans Uruk). Cinq continents, toutefois, cela se gagne très vite : le jeu devient donc rapidement agressif, et chacun est plongé devant un dilemme : « Avancé-je mon voyage ou bien bloqué-je celui d'un de mes voisins ? ». Il va sans dire que la réponse est bien souvent : « Vas-y, toi ! » et que l'on essaye de laisser le soin aux autres de bloquer les vainqueurs en puissance.

Le blocage se fait par des cartes d'attaque plus ou moins puissantes : Lune, Éclair ou Iceberg, qui ont chacune leur spécificité. Ceci, ajouté aux cinq actions possibles à chaque tour, rend la prise en main de Défifoo bleu un peu plus délicate que pour les autres jeux de la gamme des sacs de toile. Du coup, ceux qui débutent ne jouent pas forcément au maximum de leurs possibilités, et ils omettent parfois des actions ou des parades qui leur auraient pourtant bien facilité la tâche. Par ailleurs, un petit flou dans la règle concerne la possibilité (ou pas ?) de rouvrir une ligne de la couleur bloquée par un Iceberg. Le dépliant indique bien que l'on ne peut avoir qu'une ligne maximum par couleur. Mais le joueur à qui on a posé deux cartes Iceberg se verrait alors contraint de ne jouer qu'avec une seule des trois couleurs disponibles, et serait assuré de perdre la partie…

Prédécesseur, inspiration

                 

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Bruce Demaugé-Bost
avant 2009