Titre

Rivière d’enfer

Auteur Friedemann Friese  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’auteur
Éditeur Filosofia  
Année 2008
Joueurs 2 à 5
Public enfants, ados, adultes
Durée 30 min
Mécanisme course
Emplacement étagères du rayon R
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac
                 

Il ne faut pas chercher dans Rivière d'enfer un jeu à la pointe de l'innovation, bourré de stratégie, qui va vous permettre de briller en société à l'aide de vos synapses. Il s'agit en effet d'un jeu familial, tout simple, dont le but est essentiellement de se faire joyeusement des crasses, avec une règle guère plus compliquée que celle du Jeu des petits chevaux.

Un peu comme dans Ave César, on fait la course avec trois cartes en main, parmi lesquelles il faut choisir la plus judicieuse à l'instant « t ». Les choix sont limités et l'on ne peut pas toujours commettre les vilénies que l'on imagine. En fait, l'interaction est souvent lointaine, alors qu'on aurait pu imaginer des parties plus chaotiques.

Le principal intérêt du jeu réside dans son matériel : pas moins de douze tronçons différents sont disponibles, ce qui donne une multitude de courses en les assemblant deux par deux.

Il manque quand même un petit je-ne-sais-quoi pour convaincre les joueurs chevronnés. Dommage.

Le mystère des origines

 

L'origine du personnage en arrière-plan sur la couverture est énigmatique. Ses yeux trahissent sans aucun doute possible une ascendance de la famille Simpson. Mais il suffit de compter ses doigts pour voir qu'il descend probablement aussi de la famille Mouse.

On pourrait imaginer que notre sympathique souris aurait eu une aventure avec Marge Simpson. À moins que ce ne soit Homer Simpson avec Minnie…

L'enquête est en cours…

Le mystère des doigts disparus

 

On reconnait souvent un menuisier à son nombre de doigts légèrement inférieur à la moyenne constatée. Mais j'ignorais que le métier de bûcheron subissait le même genre de déboires.

Sur la boîte, on voit une charmante bûcheronne partir au travail avec une main pleine de doigts. Mais à peine s'est-elle attelée à la tâche que son nombre de doigts diminue aussitôt.

Étonnant, non ?

Bibliographie

  • Plato n° 25 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 25 »
                 

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François Haffner
3 janvier 2010