Titre

Splash Attack

Auteur Thierry Chapeau  
Éditeur Gigamic  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2004
Joueurs 2 à 4
Public bambins, enfants, ados, adultes
Durée 15 min
Mécanismes observation, rapidité, vivacité
Thèmes animaux, animaux sauvages, poissons ou animaux marins
Emplacement étagères du rayon S
Festival de Cannes Jeu de l’année enfants 2006
Trophée Flip Parthenay Sélectionné « enfants » 2005
Règle du jeu
Vidéorègle
Résumé
Ressources


Le jeu sur
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Galerie photos sur
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Le jeu sur
JeuxADeux


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
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Splash Attack est un jeu d'observation et de rapidité à destination des jeunes joueurs. Si le jeu ne brille pas particulièrement par son originalité, sa réalisation soignée va rapidement en faire un indispensable dans toute ludothèque.

  

Le principe de jeu est d'attraper le poisson dont la couleur et la forme d'écaille sont indiquées par les dés. Il existe trois couleurs et trois formes d'écaille, soit neuf poissons. Le joueur qui parvient à capturer le poisson le place devant lui. Il faudra qu'il soit le plus rapide lorsque le hasard désignera à nouveau le même poisson : il faudra alors attraper le piranha, pour que la prise devienne définitive. Mais si un autre joueur prend le piranha avant, le poisson retourne au centre du jeu.

L'autre intérêt de Splash Attack, c'est que les grosses pièces en bois se laissent volontiers emporter à la plage. Le summum, c'est d'ailleurs de jouer dans l'eau, au bord de la mer ou dans un grand bassin posé au milieu de la cuisine ! (Mais attention de ne pas en abuser : l'eau finit par pénétrer sous la peinture)

Lorsque vous aurez immanquablement attiré tous vos voisins de plage avec Splash Attack, il sera temps de sortir discrètement votre kit d'endoctrinement ludique : « Vous avez aimé Splash Attack ? Eh bien maintenant, je vais vous montrer un jeu dans le même genre, Tigre & Euphrate, qui se joue également de deux à quatre joueurs, et où il y a également quatre couleurs ».

Bibliographie

                 

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François Haffner
avant 2009