Titre

Patchwork

Auteur Uwe Rosenberg  
Éditeurs Funforge  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur

Lookout Games  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2015
Joueurs 2
Public enfants, ados, adultes
Durée 30 min
Caractéristique pentominos et polyformes
Mécanismes chrono-succession, combinatoire, gain par score, maîtrise
Emplacement étagères du rayon P
Deutscher Spiele Preis 10e Prix 2015
Trophée Flip Parthenay Trophée Divertissement 2016
Site officiel
Règle du jeu
Vidéorègles
Résumé
Ressources


Jouer sur
Board Game Arena


Le jeu sur
Les Avenjoueurs


Le jeu sur
BDML


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Club de La Rochelle


Le jeu sur
Ludo le gars


Le jeu sur
Myludo


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Le Trou à rat


Le jeu sur
Undécent


Le jeu sur
Vin d’jeu
                 

Ne vous laissez pas abuser par l'apparence de Patchwork : il s'agit d'un jeu combinatoire abstrait, dans lequel le hasard n'a aucune place.

Deux joueurs s'affrontent pour réaliser la plus belle couverture. En fait, ce qui importe ce n'est pas tant la qualité esthétique. Pour marquer le plus de points, vous devez placer le plus de boutons possible, surtout dès le début de la partie, car ces boutons seront décomptés à chaque passage de votre pion sur un bouton de la piste chronologique. Patchwork utilise en effet le mécanisme de chrono-succession comme Thebes, Olympos, Tokaido ou Glen More.

En fin de partie, il faudra aussi avoir bouché le plus de cases possible. Chaque case vide fait perdre deux points. Si vous vous débrouillez bien, vous pouvez même atteindre un score négatif !

Tout au long de la partie, vous êtes confronté à des choix difficiles où vous devrez tenir compte de multiples paramètres : passer ou poser, forme de la pièce, coût en boutons, coût en sabliers, acquisition d'un carré de cuir, situation laissée à l'adversaire… Les parties, courtes, sont sans cesse renouvelées du fait de la pose initiale aléatoire des pièces. Et il n'est pas rare qu'on enchaîne plusieurs parties.

Encoreun pour Uwe Rosenberg après ceux bien mérités de Bohnanza, Mamma mia ! et Agricola !


  Comme beaucoup, j'ai craqué pour l'extension « boutons de culotte »


  Une couverture sans pièce de cuir et sans trou.


  Une couverture garnie de pas moins de 30 boutons.

Bibliographie

  • Plato n° 72 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 72 »
  • Plato n° 90 Afficher le sommaire
    des jeux abordés
    dans « Plato n° 90 »
                 

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François Haffner
Paul Lequesne
15 novembre 2015