Titre

Color’Yam

Auteur Thomas Sing  
Éditeur Ravensburger  Cliquez pour accéder au
site officiel de l’éditeur
Année 2015
Joueurs 2 à 5
Public enfants, ados, adultes
Durée 30 min
Caractéristique dés
Mécanismes combinaisons, gain par score
Emplacement tiroirs du rayon C
Règle du jeu
Ressources


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Tric Trac

Il ne faut pas se fier aux apparences, Color’Yam n'a pas grand-chose à voir avec Double Yam. Il ne faut pas non plus se fier au nom du jeu : si dans Color’Yam on lance bien des dés, à aucun moment il n'est question de faire un « yam » et donc d'obtenir cinq dés de la même valeur.

L'idée directrice du jeu est, lors de dix manches successives, de faire le plus grand score possible pour ensuite comparer son score à celui des adversaires et marquer des points en conséquence. Lorsque trois joueurs participent, par exemple, le meilleur score rapporte 3 points, le second 2 points et le dernier 1 point.

Vu comme ça, c'est simple. mais chaque manche a un critère basé sur les couleurs.

Lors des deux premières manches, des couleurs sont imposées, par exemple « pas de bleu » ou « deux verts exactement ».

Lors des quatrième et cinquième manches, il faut respecter des configurations de couleurs libres, par exemple « une couleur au choix en exactement quatre exemplaires » ou « aucune couleur en trois exemplaires ».

Lors des septième et huitième manches, il faut respecter une comparaison de couleurs, par exemple « autant de verts que de bleus » ou « plus de bleus que de roses ».

Un joueur qui ne parvient pas à respecter la consigne ne marque aucun point pour la manche. Mais il peut inscrire son score dans la ligne « Color'yam » du pôle en cours. Il y a quatre lignes de ce type mais il faut impérativement que chaque ligne soit supérieure à la précédente pour être valide.

Le jeu est livré avec un bloc de feuilles de marque qui propose des séries de six manches différentes, ce qui permet des parties réellement variées.

Très plaisant.

 

François Haffner
Paul Lequesne
1er novembre 2015